Fan'Dil

Plongez dans un autre monde, celui qui existe après l'homme. Devenez un membre des races premières et protégez les vôtres, car la guerre a déjà commencé.
 
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Comme on se retrouve? [Libre]

Niraki Adashy
Niraki Adashy
Messages : 62
Date d'inscription : 13/12/2015
Age : 28
Localisation : Santumeria
Mer 7 Déc - 0:04
Niraki Adashy
Je n ai jamais vraiment quitté la forêt.  De que je le peu j y retourne et y retrouve l air frais et sauvage. Le besoin indomptable de courir loin, vite a en avoir mal aux muscles. C est ainsi dans ma nature de félin.  Et en même temps dans mon caractère,  car quand je coure j oublie tout le reste. D accord presque tout.

Depuis un moment je rêve d'un corbeau et même si je pense l avoir croiser j ai le sentiment que ce n est pas tout a fait ça. Un mauvais sentiment plutôt,  comme si quelque chose se préparait dans l ombre. Ou le ciel peut être!  Les déesse sont capricieuses,  tout le monde le sais. Pourtant on les connaît mal. On sait peu de chose sur elles, mais elles sont belle et bien réelle, un peu trop hélas.

Mon instinct m arrêta,  une odeur près d un ruisseau.  Une saveur unique et délicieuse.  Un parfum connu et amusant. Allez savoir pourquoi il avait posé le pied pas loin d ici. Ou encore pourquoi je me mis a suivre ça trace. Une autre senteur coupa ma route, u  autre humanoïde et même un  humain. Qui devais je suivre? L oiseau ou l insecte? Bizarrement je me contenta de poser mes fesses. Et oui souvent se sont eu qui viennent a vous. Et c était le cas du vent.

Qui allait arriver a moi? Kira peut être.  Ce jeune Sanctum était prometteur et amusant. J étais partie après l avoir embrassé,  un jeu pour moi. Rien de plus qu un amusement distrayant., peut être pas pour lui. Qu importe? J avais la liberté de choisir mon  époux puisque je  n avais plus de père pour cela. Et quand bien même les traditions et moi... ça passait mal. J avais essayé de renouer le lien avec ces dernières, mais cela c'était mal passé,  comme beaucoup de choses avec moi. J'avais la fâcheuse manie de toute détruire sans même le vouloir, comme quoi il n'est pas facile d'être moi.

L’avantage d'être moi, c'était sans aucun doute d'avoir tout pour ressembler à une humaine sans en être une. Enfin, autant que cela puisse en être. Je ne dégageais pas ce truc d'Esteran, je n'avais pas ailes et la distinction des Sactums. Et pour ce qui était d'être Félim… disons le clairement je n'en étais pas pour autant mieux dans mes chaussures. Donc ressembler à une petite humaine toute mignonne et fragile, cachait à la fois ma force et mes capacités. Avantageux non ? Bien que qui conque ayant un peu de regard sait d'office que je ne suis en rien comme eux. Et oui, mes oreilles cachées, ma queue voluptueuse et mon caractère de feu. Heureusement que j'étais de la «  noblesse » sinon… sinon quoi ? J'aurai fini par devenir combattante ? C'était pas mon cas ?
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Kira Kanéko
Kira Kanéko
Messages : 33
Date d'inscription : 13/11/2016
Age : 30
Localisation : Sanctuméria
Jeu 8 Déc - 14:42
Kira Kanéko
Décidément, aujourd’hui, était vraiment une sale journée, j’étais parti pour chasser avec un groupe de combattant, il leur manquer une personne alors quelqu'un m’avait proposer, bien sûr comme tous les groupes ma réputation se faisait ressentir encore une fois, et il n’était pas question d’un quelconque passe droit envers moi ou un autre traitement pour les autres, mais cette fois, c’était différent, j’avais perdu mon groupe, il n'y avait pas a dire, c’était vraiment la galère, j’avais donc installé mon camp non loin de la forêt , je me préparais donc mon repas après avoir installé ma tente quand deux Kelbi sortit de la forêt , je savais que c’était des Crist relativement inoffensifs , mais quand soudain l’un d’eux fonçant sur mon feu de camp, attrapant ma marmite au passage puis retourna dans la forêt cela me faisait beaucoup moins rire, armée de mes armes, je leur courrais après pour récupérer mon repas du soir.

Et voilà ou j’en suis maintenant quand je vous dis que c’est une sale journée, devoir courir après deux Kelbi voleurs de repas, tout en esquivant les arbres et autres ronces poser au sol, mais très vite l’un d’eux fit demi-tour pour me charger dessus, je me protégeais de justesse avec mes deux lames, mais la puissance du choc me fit rouler en arrière sur une pente finalement un arbre arrêta ma descente pour mon plus grand malheur.

Le choc avait étais des plus rudes, mes épées, c était retrouver éparpillés prêt de moi, je me relevais péniblement secouant ma tenue, ramassant au passage mes armes, il faillais que je me fasse une raison, je pouvais dire adieu à mon repas de ce soir, j’avançais donc dans la forêt , non seulement, j’étais bredouilles mais en plus, je m’étais fait voler par des Kelbis et pour couronner le tout, j’avais l’estomac dans les talons, j’avançais donc dans la forêt mon ventre commençant a faire des bruits insensés jusqu’a tomber nez à nez avec une jeune femme qui ne m’étais pas inconnue, je la regardais clignant des yeux me demandant ce qu’elle faisait là :


« Niraki ... C’est toi ?»

Je clignais des yeux, je ne m’attendais vraiment pas à la croiser, je n'étais pas vraiment dans une tenue adéquate, ma tenue était recouverte de boue et de terre à cause de la chute et la faim me tirailler de plus en plus, jusqu’au moment ou mon estomac eu marre d’attendre se mettant a couiner comme jamais juste devant elle, je ne voulais pas lui demander a manger et encore moins lui raconter que je venais de me faire avoir par des stupides Kelbis , c’était vraiment trop embarrassant !
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Stéphane de Beauchamp
Stéphane de Beauchamp
Messages : 10
Date d'inscription : 19/01/2016
Ven 9 Déc - 13:25
Stéphane de Beauchamp
Le soleil n’était pas très haut dans le ciel lorsque la journée de notre guerrier commença. Alors en train de s’occuper de sa monture dans les écuries, Stéphane était silencieux. Seuls les bruits, les craquements et les hennissements naissent des chevaux habités la pièce. L’homme, soucieux de savoir sa monture en bonne santé, prenait de longues minutes chaque jour pour vérifier si son état était bien et si la bête ne manqué de rien. Il aimait sa jument comme une femme ayant partagé sa vie. Il savait que depuis ses débuts, c’était elle qui lui avait servi d’amis fidèles et de compagnons de route. C’était elle aussi qui lui avait sauvé la vie une fois alors qu’il avait manqué de se faire attaquer par une nuée d’Arcas. Oui, elle était vraiment la seule sur qui l’homme pouvait vouer sa confiance. Robuste, Élégante, cette jument ne manqué pas d’excellence. Autant dire par là que l’homme avait eu beaucoup de chance en l’obtenant de la part de son maître.

L’homme avait offert aux nouveaux combattants lui étant affilié de par ses terres, des chevaux et de quoi obtenir leurs premiers équipements. Il espérait ainsi les voir vivres plus de trois jours et lui rapporté gros ! Et quelle aubaine pour Stéphane d’avoir obtenu cette monture. Négligée pour sa petite taille et sa faible corpulence, l’animal avait était offert comme dernier choix à l’humain mal considéré. Mais l’homme n’en demandait pas plus. Il savait que si les autres races négligés facilement ce qui leur semblaient fragile et faible, l’homme lui saurait reconnaître chez cet animal, bien des qualités. Ainsi, l’homme venait chaque matin s’occuper de la bête lorsque les corvées lui incombant étés terminés. Il la chérissait et veillait au grain, à son état de santé.

Mais bon voilà, ce matin les choses ne tournèrent pas comme d’habitude. Une requête vint à tombé et l’homme réquisitionné avec plusieurs autres « combattants ». Tous devaient se rendres dans une partie bien précise de la forêt de Sanctuméria. Une « Gêne significative » s’était fait connaître et il s’était une chance à ne pas négliger pour le maître des lieux. En agissant rapidement et efficacement en envoyant ses hommes, il pourrait se faire connaître et reconnaître et ainsi, gagné en popularité ! Aussi, il somma le groupe de se hâte et de rejoindre l’île en question au galop. Peut-être n’était-il pas chef des lieux, mais qu’à cela ne tienne, jamais il ne négligerait une aubaine pareille ! Ainsi, notre guerrier rejoignit à la hâte le groupe et partie pour plusieurs jours de routes. Il ne compta pas le temps avec précision, mais la traversé semblât être une éternité. D’autant plus que le trajet ne se fit pas sans quelques prises de bec pour lui. Mal traité et insulté à tout-va pour son appartenance à une race bien trop mal vue, il dut taire ses ardeurs et faire abstraction des remarques incessantes sur sa personne.


- « Puisse mon seigneur me pardonner de ne pas être comme il l’espérait… Je me montrerais apte à le servir malgré mon infériorité ! »

L’homme ne se dénigré pas malgré les apparences. C’était la règle et c’était donc normal de penser ainsi. Les humains étaient inférieurs et peu de monde autre que humain justement, pensé différemment. Ainsi… Les assauts se terminèrent lorsque tous arrivèrent peu avant le lieu désigné. L’âpre forêt avait calmé les querelles par son immensité et sa prestance. Silencieuse et assourdissante à la fois, l’endroit présager d’un danger imperceptible et vivace. C’est à ce moment-là alors que les choses accélèrent. Le désigner capitaine ordonna ses ordres et le groupe se scinda en trois. Tous devaient baliser une partie de la zone pour mieux repérer la cible. Stéphane se retrouva ainsi en compagnie de trois autres hommes, Esterans pour la plupart. Les hommes ne prirent pas de gants avec le guerrier, le sommant de ne pas les ralentir avant de partir vent à dos. Ne prennent même pas le temps de s’assurer que l’homme suivait, les trois hommes bombardèrent comme des dératés. Ils allèrent tellement vite que deux lieux plus loin, Stéphane avait perdu leurs traces. Peut-être son cheval n’était-il pas très rapide, mais son endurance ne lui avait pas permis non plus de tenir la distance. Ainsi, l’homme continua sa route avec le peu d’indications lui ayant étaient transmises. - « Diable, je risque d’encore m’attirer les foudres du capitaine. Il me faut me hâter ! »

Le guerrier chercha ainsi jusqu’en fin de soirée. Le peu de lumière restante ne permettait plus grand-chose et il décida alors de s’arrêter. Confectionnant à la va-vite un feu de petite taille, il s’installa à l’abri des intempéries et attendit. Contrairement à ses compères d’autres races, la situation n’était pas cocasse et la forêt oppressante autour de lui limiter grandement ses capacités de reconnaissances. Stéphane savait que la forêt, malgré le calme apparent, était dangereuse pour qui la négligerait volontairement. Ainsi, quêtant tel une vigie, l’homme scruta, oreille tendue. Tous se passant bien jusqu’au moment ou des voix, portées par le vent, le fit redresser l’échine…
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Niraki Adashy
Niraki Adashy
Messages : 62
Date d'inscription : 13/12/2015
Age : 28
Localisation : Santumeria
Ven 9 Déc - 16:51
Niraki Adashy
Passer de surprise en surprise, mon cher Corbeau me trouva. autant dire que je ne manquais pas de rire au vue de son état. Il S'était fait roulé dans la boue comme une tarte sous le sucre. Adorablement lamentable, j'explosais de rire en me tenant le ventre. Impossible de trouver le moindre mot, je riais trop. Quand enfin je peux respirée un coup, je me frottais les yeux. Il avait un de ces airs perdu et fatigué, sans parlé qu'il mourrait de faim. C'était écrit sur son visage. Je me levais pour aller vers lui et sortit d'une poche un petit sac en tissus. Je n'avais peut-être pas grand chose, mais assez pour deux trois jours.
" Mon ami, tu es dans un de ces états. Tient, mange c'est du Céan séché. Délicieux"
Je m'abstenais de comparer se repas au premier que nous avions partagé. Les goûts des ignorants étaient n'était pas pour moi. Aussi j'humais l'air, la trace de l'homme. Cet humain au courage de suivre une troupe de combattants plus expérimentés. Je ne fus pas surprise de découvrir que même mon ami portait leur parfum. Il avait été traîné dans la boue, autant dire que ce n'était pas bon pour sa réputation. Mon pauvre Corbeau, je fermais les yeux, faisant signe de silence. Oreille dressée, je venait d'entendre un feu, sentir sa fumée sur ma langue.

Un large sourire sur les lèvres, je fis signe à mon ami de me suivre en silence. Direction la surprise, je comptais bien tomber sur un petit camp, je n'entendais qu'une personne. Mon odorat ne pouvait m'aider avec la saveur de la fumée. Ma vue elle, n'était que meilleur la nuit, je n'étais pas un félin sauvage pour rien. Je posais une main au sol, sentant les vibrations des morts, les murmures des cadavres pourrissant tout juste sortit de la fonte des neiges. J'ignorais ce que pourchassais le groupe, mais il n'avait encore rien trouvé. Les murmures de la ville m'avaient apprit à n'écouter que mes sens, les on dit sont trop nombreux, mais de la à mobiliser tout un petit groupe. Je devais être prudente et qui ne le serait pas?

Un large sourire au lèvre, j'attrapais la main de mon ami pour le diriger dans l'obscurité. Évitant pierre et arbre, je ne tardais pas à trouver la lumière du feu. Encore un pas, je m'arrêtais dans un buisson. La nature murmurait sa douce chanson du soir. s'inviter sur le camp d'un autre, s'était osé, exactement comme moi, mais je devais être prudente. Je rangeais mes oreilles et ma queue, non pas que faire face à une félim sous un problème, mais les humains sont délicats. Parfois des insectes tentent quelque chose face à moi, mais je n'ai aucune envie de me battre contre un possible allié.

J'attendis encore un peu avant de pousser Corbeau devant moi. J'espérais qu'il se prenne les pieds dans la racine qu'il 'avait peut-être pas vu. Je ne suis pas méchante, joueuse. Dé qu'il fut à la lumière je sortie après lui en riant.
" Bonsoir, peut-on se joindre à toi l'ami? Ce crétin c'est perdu, moi j'ai de quoi manger. Je ne piquerai qu'un gobelet de boisson forte si tu as."
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Gabriel Skull'Taël
Gabriel Skull'Taël
Messages : 18
Date d'inscription : 18/12/2015
Ven 16 Déc - 11:42
Gabriel Skull'Taël
"Bon sang, la prochaine fois, je ferais plus attention."

C'est ce qui me traversait l'esprit en me demandant ce qui m'avait pris d'accepter cette commande, avec livraison comprise. Déjà que le trajet en bateau avait failli détruire la commande à cause d'un canon mal fixé qui avait énormément bougé dans la cale, je devais maintenant me taper un trajet monstrueux jusqu'à la capitale. Bon heureusement, la rémunération me permettrait de couvrir mes dépenses et en plus je pouvais étudier un nouveau marché potentiel. De plus le chemin que l'on m'avait indiqué au port ne me semblait pas le plus sûr, mais je n'avais pas à m'en plaindre.

Alors que je suivais la route d'un rythme tranquille, un groupe d'aventuriers me dépassa à une allure assez soutenue. Je remarquais parmi eux un frêle humain, même s'il était harnaché comme un guerrier. sûrement de la viande pour servir d’appât. Je continuais mon chemin sans y porter plus attention, mon fusil était installé à portée de main et prêt à servir, mais dans les plaines aussi vaste, le danger pouvait se remarquer de loin. J'approchais de la lisière de la forêt quand j'aperçus les chevaux des combattants arrivés plus tôt. L'un d'entre eux attendais à proximité pour s'en occuper. Il me fit un geste de la main et j'arrêtais mon chariot.

- Holà voyageur ! Que faites-vous par ici ?

- Bonjour ! Je m'occupe d'une livraison pour mon patron. Je dois livrer ces quelques meubles à la capitale.

- Et vous prenez un chemin aussi dangereux sans escorte ? Vous êtes fous !

- Vous savez, je n'en ai pas l'utilité
, pointant subitement mon fusil sur lui. Les bandits sont plutôt lents à réagir.

Le Sanctum leva les bras et se mit à rire à gorge déployée, faisant signe à son collègue qui se cachait jusque là de baisser son arme.

- Je vois, un Artilleur ! Bon je ne vais pas vous déranger plus longtemps, par contre faites attention, on chasse un animal dangereux là-dedans et il risque de vous attaquer si vous n'y prêtez pas attention.

- Merci du conseil, je serait sur mes gardes.


Je reprenais tranquillement ma route quand je me rendis compte que je ne m'étais pas du tout présenté.

- Au fait, je m'appelle Gabriel, Gabriel Skull'Taël.

Je remarquais au rire du Sanctum et au bruit que faisait le jeune Esteran qu'ils me connaissaient, même au-delà de mes frontières.

Je m'enfonçais de plus en plus sous les frondaisons quand je sentis quelques gouttes sur mon visage.

"Nuit, veille sur moi je t'en prie." Priais-je en silence.

Je mis pied à terre et installait les bâches par dessus ma cargaison, vérifiant méticuleusement toutes les attaches. J'en profitais pour vérifier l'état des roues, en me disant que ce serait surement le dernier voyage de l'une d'entre elles. Elle avait surement due être abimée pendant le voyage en bateau. Je maugréais à cette remarque, et enfilais une cape pour nous protéger de la pluie mon fusil et moi. Alors que je suivais le sentier qui commençait à devenir assez glissant avec la pluie, je remarquais une paire de traces s'éloignant d'un groupe plus important. Je me décidais à les suivre, espérant trouver un abri pour la nuit. C'est alors que j'entendis des bruits de conversation. Je dissimulais mes crocs sous un foulard et m'approchais doucement avec le chariot.

- Holà, messieurs-dames, puis-je profiter de votre feu et de votre abri ? J'ai de quoi faire un festin si vous le souhaitez et un bon alcool importé tout droit d'Ester.

Je mis pied à terre et détachais Asfaloth de son harnais. C'était un robuste cheval de trait, il n'était pas tout jeune, mais je l'aimais bien, il avait grandi avec moi au palais et je ne pouvais rêver meilleur compagnon pour ce voyage. Je l'attachais à un endroit où il pouvait se nourrir et ne courant aucun risque si jamais l'orage s'intensifiait.
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